Extrusions verticales – céramiques expérimentales

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Extrusions verticales est une série de sculptures et de pièces utilitaires façonnées en argile à haute température. Fruit de deux années d’expérimentation, cette collection est le résultat d’une exploration menée par les artistes Yulie Echavidre et José Urteaga autour des formes, des textures et des matériaux.

Réalisées à l’aide de la technique d’extrusion — une méthode encore peu explorée dans le champ de la céramique contemporaine — ces œuvres conjuguent géométrie, couleur et matière. L’extrusion d’argile, qui rappelle certaines technologies comme l’impression 3D, permet de générer des formes complexes, souvent inaccessibles par les techniques de modelage traditionnelles.

Oscillant entre le végétal et l’industriel, les pièces de cette série évoquent à la fois le monde organique et les processus mécaniques. Extrusions verticales invite le regardeur à plonger dans l’univers d’une technique singulière et résolument novatrice.

Peinture, sculpture, installation et antiquités du XXe siècle

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Christophe Martinez proposera pour cette 3e édition de Wave une installation tactile. L’œuvre aura pour but de faire analyser des sensations contraires comme le piquant, le doux, le mou, le lisse… Une expérience permettant de mettre en contact une partie du corps et d’établir des liens avec des personnes de son entourage.

« Les Dadous de Hugo Duras » : tout au long du mois, l’artiste vous invite à créer votre Dadou, petit personnage de papier à plier, à coller et à assembler pour composer une installation collective qui habillera la vitrine de L’Atelier-Galerie Le56. Pour les petits et pour les grands !

Émotions et connexions

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Artistes : Atelier Allanic, Nadia Barbotin, Fran’ Bard, Nadège Lamoly, Laïla Lelièvre, Gabrielle Parquet, Didier Paul-Hazard, Véronique Porot, Sixtine Vasseur

L’exposition explore la complexité et l’intensité des émotions créatrices. Par des pratiques variées — dessin, peinture, sculpture, dentelle d’art, céramique, … — les artistes et artisan·e·s de l’Atelier La Bobine vous invitent à vous questionner sur les nécessaires saisissement, agitation, exaltation, parfois frustration, … que suscite la création. Des émotions vécues au quotidien dans l’atelier qui nous lient au lieu, entre créateur·rice·s et avec les regardeur·euse·s…

Sortir des monologues

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Artistes : Elsa Ferry, Wilfried Nail, Romain Rambaud, Benoît Travers + Guest Jane-Gail Lopez

Déconstruire un langage, c’est le manipuler, le faire dériver, le déserter de son horizon d’intelligibilité, lutter avec lui, le malmener, lui façonner des facteurs de trouble, le mettre en échec, augmenter ses formes d’incarnation, le conduire vers le sensoriel, le corps, la voix, l’œuvre. Pour “Sortir des monologues”, les langages combinés des artistes sont : ricochet, métalangage, idiolecte, plastique, incarné, animal, silencieux, performatif, symptôme, corps mégaphone, tractus vocal. 

L’exposition se prolonge au-delà de Wave jusqu’au samedi 1er novembre 2025 avec le finissage de l’exposition à partir de 18h30.

Collagène

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La dégradation débute vers la trentaine apparemment. Les premiers symptômes se manifestent autour des yeux. Je ne remarque pas de signe particulier pour le moment, même si la tendance est plutôt à l’affaissement général.
Le monde s’écroule autour de moi et je suis inondée d’un flux anti-âge. Devrais-je m’affoler ? J’ai pensé que si j’injectais du collagène dans mon travail, mes œuvres auraient une chance de se conserver, moi compris.
Une dose prophylactique préviendrait d’une chute qui pourrait s’avérer molletelle. Et cela n’est pas tant une question de care que d’allure. Une négligence à l’égard du service public peut entrainer des effets indésirables sur votre (re)tenue you know. Reste l’option de la glissade, pour finir en flaque que des enfants piétineraient avec joie. L’idée d’éclabousser les autres et de salir les chemises trop blanches n’est pas si déplaisante après tout.

À propos d’Ines Dobelle : Née en Jordanie, Ines Dobelle est diplômée des Beaux-Arts de Paris et se forme en regardant beaucoup de tutos sur Internet. Elle se définit comme une polycultrice qui décloisonne les genres et emploie différents modes d’expression dont le langage qu’elle utilise comme une pâte à modeler à haut potentiel performatif. Ses recherches portent notamment sur la culture de l’apparence, l’exposition de l’intime et du domestique, sur la frontière glissante entre espace privé et public et les régimes de visibilité et de circulation des œuvres d’art.

L’exposition se prolonge au-delà de WAVE jusqu’au 19 décembre.

Cameltoe Pride

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La série des Cameltoe Pride d’Énora Denis apparaît en septembre 2020 à la suite de la découverte de blogs qui répertorient et se moquent des cameltoes de « stars ». Le corps des femmes est toujours et encore commenté, critiqué.

Le cameltoe, ce pli si souvent fustigé par les regards, est moins un phénomène physiologique qu’un phénomène social, un stigmate que notre culture contemporaine a codifié. Cette « honte imposée », l’artiste a souhaité la questionner et la retourner en affichant fièrement l’anatomie féminine à travers un objet esthétique et poétique.

La nommer par l’image, la montrer plutôt que la cacher.

L’exposition donne à voir une sélection de photos grand format et permettra de découvrir le livre qui présente la série complète, qui paraît aux éditions FP&CF.

Exposition test APO33

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